–
Livres sur le sujet :
…
« Tour d’énergie et basalte paramagnétique » LOÏC ETCHEBERRY
« Stone age farming » ALANNA MOORE;
« The Round Tower of Ireland » BARROW LENNOX 1979
« Ancient Mysteries, Modern Visions » CALLAHAN PHILIP S. 1984
« The Way That I Went » PRAEGER ROBERT LOYD 1980
Le livre à lire pour comprendre les tours d’énergie au potager, champ, verger… ainsi que les utilisations possibles du basalte. Ceci afin d’améliorer croissance, germination, santé… des cultures nourricières.
Quelques photos 🙂
–
Peuvent être installées dans le jardin ou le champ. Simple de fabrication, un modèle est constitué d’une tour en argile cuite remplie de basalte ou bien d’un mélange de ciment et de basalte. Cette technique d’électroculture permet d’interagir naturellement avec les plantes et cultures. L’objectif est d’améliorer la santé, croissance, germination, vigueur énergétique…
–
Des vidéos
–
Retranscription du chapitre « Les tours d’énergie » de « LA VIE SECRETE DU SOL » de TOMPKINS et BIRD.
–
Le plus épais mystère entoure encore les soixante-cinq tours médiévales des vertes campagnes irlandaises. Nous savons bien peu de choses à leur sujet, si ce n’est qu’elles sont orientées, et ce n’est certainement pas le simple fait du hasard, répondent toutes à un schéma géodésique et astronomique, et que les ombres projetées par leurs ouvertures indiquent les jours de solstice et d’équinoxe. Mais la théorie la plus extraordinaire a été émise par CALLAHAN : selon lui, ce serait des antennes employées par les moines irlandais du Moyen Age pour capter les ondes cosmiques.
Pendant la seconde guerre mondiale, alors qu’il était en garnison à Belleek, CALLAHAN est souvent allé visiter l’une de ces tours sur l’île toute proche de DEVENISH, un lieu sauvage et mystique au milieu du LOUGH ERNE. C’est probablement la mieux conservée des quelques vingt-cinq tours encore debout. Construite en grès finement jointé, elle culmine à vingt-cinq mètres, et sa circonférence atteint 15,4 mètres; divisée en cinq étages, elle est percée de fenêtres encastrées selon une orientation bien particulière.
Au cours de l’un de ses voyages à DEVENISH, CALLAHAN demanda au pêcheur qui l’amenait dans sa barque jusqu’à l’île pour quelle raison les fermiers de la région se donner tant de mal pour mener leurs vaches paître sur l’île. « Parce que l’herbe y est meilleure ! » répondit-il. Intrigué, CALLAHAN se procura une carte où étaient indiquées toutes les Tours Rondes connues. En étudiant la carte, il fut frappé par le fait que leur situation dessinait exactement la carte du ciel polaire au solstice d’hiver. On reconnaissait aisément l’étoile Polaire, une tour somptueuse bâtie sur les terres du monastère de CLONMACNOISE, près de la rivière SHANNON, dans la plaine centrale d’Irlande. Existerait-il, se demanda alors CALLAHAN, quelque lien entre l’herbe savoureuse poussant autour de la tour de DEVENISH et la situation de cette dernière par rapport au cosmos? La tour pouvait-elle être une antenne captant l’énergie cosmique émise par les étoiles? En 1932, le DR KARL G. JANSKY, des BELL LABORATORIES, avait le premier découvert des ondes en provenance du cosmos. Pour cette région du ciel en particulier, il avait mesuré une longueur d’onde de 14,6 mètres. Ce ne pouvait être une pure coïncidence. Il était possible que la tour DEVENISH, en raison de sa localisation et de sa forme, soit en résonance avec les fréquences cosmiques, et aussi avec l’énergie du champ magnétique terrestre. Un autre indice corroboré cette hypothèse : le grès est une roche paramagnétique.
Les pierres, explique CALLAHAN, ont une vie secrète déterminée par deux forces magnétiques, équivalentes mais opposées. On connaît peu de choses à leur sujet, excepté que l’une Yin, est positive, l’autre Yang, négative, ainsi qu’elles sont définies par la sagesse chinoise. Les physiciens allemands et anglais du XIX siècle les appelèrent paramagnétisme et diamagnétisme, la première force étant attirée par les champs magnétiques, la seconde repoussée. Les chercheurs qui ont découvert le paramagnétisme, au milieu du siècle dernier, le décrivent comme « une susceptibilité, faible et constante, vers un aimant ». Par constante, ils entendaient une attraction magnétique « inhérente » à la substance, et non transférable, comme c’est le cas avec le magnétisme ordinaire quand on frotte un clou ou un tournevis contre un aimant droit ou un fer à cheval. Le postulat de CALLAHAN était simple : les Tours Rondes irlandaises, faite de grès, de calcaire ou de basalte, et donc paramagnétiques, pouvaient être des capteurs électroniques géants des micro-ondes cosmiques, et en même temps des accumulateurs géants d’énergie magnétique.
Afin d’en savoir plus, il entreprit des expériences avec des modèles réduits, d’abord en papier de verre, puis en carborundum, en prenant comme référence les dimensions données par la Pr G.L. BARROW, dans son ouvrage THE ROUND TOWERS OF IRELAND. Il construisit un modèle respectant les proportions de la tour de DEVENSIH. Avec un klystron, oscillateur à haute fréquence, capable de produire une énergie correspondant à une longueur d’onde de trois centimètre, CALLAHAN plaça son modèle réduit en papier de verre (quinze centimètre de circonférence) à l’intérieur d’un faisceau d’ondes radio, et le potentiomètre indiqua une augmentation d’énergie de six à neuf décibels. Pour CALLAHAN, c’était l’indication que les Tours Rondes étaient des guides pour les ondes radio, fonctionnant à la manière des lentilles grossissantes qui concentrent la lumière en leur foyer. Du même coup, CALLAHAN élucidait le mystère des portes des Tours Rondes, toujours situées à quelques mètres au dessus du sol. Selon les archéologues bien pensants, c’était pour se protéger des Viking. Mais, comme le souligne CALLAHAN, les premiers Viking n’ont envahi l’Irlande que bien après le VIII siècle. De plus, la hauteur à laquelle se trouvaient les portes ne pouvait constituer un réel obstacle pour l’attaquant. Il devait y avoir une autre raison. Le fait que les moines avaient, à la base, compacté la terre à des niveaux différents devait apporter la réponse que CALLAHAN cherchait.
Quelle que soit la précision mathématique avec laquelle les ingénieurs électriciens conçoivent leurs antennes, ils atteignent rarement une résonance suffisante du premier coup. Les antennes doivent être raccourcies ou allongées par tâtonnements, jusqu’à ce qu’elles puissent recevoir une fréquence donnée. Pour mettre au point leurs antennes de pierre afin d’intercepter les rayons du ciel nocturne, les bâtisseurs des tours monastiques en remplissait simplement la base avec de la terre, pratiquement au niveau de la porte, jusqu’à capter la fréquence recherchée.
Pour étayer ses affirmations, à savoir que les tours irlandaises étaient des antennes paramagnétiques, CALLAHAN comprit qu’il devrait, sur l’un de ses modèles réduits, indiquer les lignes de force du champ magnétique, tout comme on les observe avec la limaille de fer attirée par un aimant placé sous une feuille de papier. En théorie, on devrait observer des anneaux à différents niveaux. Pour les visualiser, il décida de tremper dans une solution de sels d’Epsom pendant quarante huit heures une réplique en carborundum de la tour de TURLOUGH, dans le comté de MAYO. Il espérait que ce sel diamagnétique serait assez léger pour être affecter par les très faibles forces en présence. Il fut ravi de retrouver son modèle entouré d’une spirale de ligne blanches depuis son sommet tout pointu jusqu’à sa base. Et, encore plus troublant, à chaque niveau du modèle réduit, aux endroits précis où se trouvaient une fenêtre et un pallier sur la tour véritable, apparaissait une bande large et épaisse de sels d’Epsom… Ces lignes de forces ressemblaient aux vagues d’énergie qu’on peut mesurer sur une antenne radio électromagnétique en résonance, et qui correspondent à ce que les ingénieurs électriciens appellent les modes électromagnétiques. Bref, c’était comme si ces tours étaient construites de telles sorte que les plus fortes lignes de « mode » soient concentrées sur les planchers des tours, d’où les moines auraient observés les étoiles par les petites fenêtres, psalmodiant des invocations pour renforcer l’énergie reçue. Quel était le but de ces invocations? Depuis des millions d’années, explique CALLAHAN, l’homme et toute les plantes de la nature ont évolué sous un rayonnement à basse énergie de micro-ondes, qui baigne constamment nos corps, mais aussi toutes nos cultures vivrières. Pour les hautes fréquences, les meilleures antennes ne sont pas en métal, mais en corps diélectriques, non conducteurs, comme le plexiglas, la cire ou la pierre. CALLAHAN est persuadé que les Celtes, nos ancêtres agriculteurs, savaient être à l’écoute de la nature. Ils utilisaient les Tours Rondes à la manière des semis conducteurs, faits à partir de silicones au lien des conducteurs métalliques, créant un énorme système de résonance pour capter, stocker et renvoyer les ondes métriques provenant du cosmos. « Ces tours étaient des antennes magnétiques préréglées, des capteurs électroniques géants de l’énergie cosmique du domaine des micro-ondes, et des accumulateurs géants d’énergie magnétique. Ainsi, elles apportaient une énergie cosmique bienfaisante qui fertilisait les champs de ces moines ingénieurs si adroits, et ce bien des siècles avant que le mots « électricité » soit introduit dans notre vocabulaire. »
Les moines captaient l’énergie cosmique paramagnétique que leurs Tours Rondes répercutaient sur les cultures, « dopant » ainsi les plantes.
CALLAHAN était conscient que la forme et la longueur des antennes radio sont deux facteurs déterminants pour une forte résonance. Il en allait de même avec les antennes de pierre paramagnétiques. CALLAHAN s’interrogeait sur le rôle que pouvait jouer la taille en pointe, caractéristique des Tours Rondes, par rapport à leurs propriétés paramagnétiques. Ses modèles de structure tubulaire et recouvert d’un pyramidion conique, tel un bonnet d’âne, se révélèrent des conducteurs parfaits. Des plantes que l’on faisait pousser autour s’inclinaient invariablement en direction de la tour; les plants sortaient plus rapidement au Nord, alors qu’au Sud ils n’atteignaient que la moitié des premiers.
C’est en 1986, en ARKANSAS, que fut conduite la première expérience à grande échelle pour vérifier la théorie de CALLAHAN, sur une terre au nord de WEST MENPHIS appartenant à THOMAS C. QUACKENBOSS, un gentleman farmer. Partant de l’hypothèse que, si le système des Tours Rondes fonctionnait avec les modèles réduits de CALLAHAN, il devrait en être de même pour des répliques à l’échelle 1/2 respectant les proportions des tours irlandaises, QUACKENBOSS et sa famille élevèrent dans cette région trois tuyaux de drainage en terre cuite longs de un mètre quatre-vingts et large trente centimètres. Ils les remplirent de sable basaltique, très paramagnétique, pour irradier une zone de quatre vingt hectares. Cela permit de vérifier l’hypothèse de CALLAHAN : ses modèles réduits émettaient la plus grande partie de leur énergie selon un schéma semblable à un trèfle orienté au nord. Pour rendre les tours en terre cuite plus paramagnétiques, les QUACKENBOSS placèrent à leur cime des pyramidions de basalte mélangé à du ciment. Le coût total de cet investissement représentait deux cent cinquante dollars. Du coton et du soja furent plantés au début de l’été. A l’automne, la récolte rapporta huit mille dollars de plus que ce qu’il espéraient. L’année suivante, les QUACKENBOSS construisirent vingt et une « tours d’énergie », dans l’espoir d’accroitre encore leurs revenus, et d’apporter à leurs cultures tout les avantages que pouvait leur procurer le rayonnement cosmique de CALLAHAN. Le fils de QUACKENBOSS, JOHN, âgé de trente-deux ans, était un radiesthésiste-né; il avait lu tout ce qu’il avait pu trouver sur les eaux souterraines et les ligne de ley au dessus du sol dans le but de placer ses « tours d’énergie » exactement au dessus de points où sa baguette de sourcier détectait l’intersection de telles lignes. Le résultat fut encore une fois surprenant, mais pour d’autres raisons : dans une région affligée par la sécheresse, d’abondantes pluies tombèrent sur la terre des QUACKENBOSS, mais pas chez leurs voisins. Pour la seconde fois ils eurent une récolte exceptionnelle : quatre balles de coton par hectare, et quatre vingt dix boisseaux de soja, alors que 1988 était une année de sécheresse. La raison de ces récoltes inattendues résidait probablement dans les pouvoirs mystérieux des tours d’énergie, seule originalité par rapport aux champs voisins. Quand deux camarades de JOHN entendirent parler de cet exploit, ils poussèrent leurs propres familles à tenter l’expérience. C’est ainsi que dans le centre de la VIRGINIE, sur les terre d’un businessman très en vue, JIM WHEAT, son maitre de culture RICHARD DIX, et son fermier RAY THOMAS eurent le courage d’implanter dix-sept tours d’énergie sur quatre cents hectares de terres côtières, dans l’estuaire de RAPPAHANNOCK RIVER. Leur première récolte fut tellement extraordinaire, leur procurant un bénéfice supplémentaire de cinquante mille dollars, qu’ils décidèrent d’essayer la culture biodynamique sur leurs deux mille deux cents hectares, et d’abandonner les engrais et pesticides chimiques. Un changement heureux car, au début de l’été, alors que nous nous trouvions sur ces terres de VIRGINIE et que l’on semait le maïs dans un champ empoisonné, nous avons trouvé les restes d’un faucon splendide qui avait fait sa proie d’un corbeau empoisonné, et, sur le bord de son terrier, une marmotte agonisante.
Qu’un tel système d’émission d’énergie cosmique, utilisant la tour, l’obélisque ou la pyramide, remonte aux premiers hommes à avoir construit de telles structures, les Egyptiens, paraît une évidence. Mais nous n’avons pu en établir la preuve que très récemment, grâce aux efforts de GABRIEL HOWEARTH, qui pendant des années, sac au dos, a arpenté la jungle d’Amérique centrale jusque dans des territoires que peu de Blancs avaient foulés, pour partager la vie de ceux qui sont devenus ses amis, les agriculteurs mayas. HOWEARTH avait étudié leurs méthodes de gestion de la terre. Elles se révélèrent extrêmement sophistiquées. Appliquées à des champs où poussaient de riches cultures, elles atteignaient parfois cent quatre-vingt hectares, avec des récolte dérobées, ce qui était coutumier avant l’arrivé de CORTEZ. « ILS PRATIQUAIENT LA PERMACULTURE il y seize siècles, nous dit HOWEARTH, et ils ont aujourd’hui des arbres fruitiers et des noyers qui ont plus de mille ans et qui continuent à pousser et à donner des fruits. »
Il ne subsiste aucun doute sur le fait que les MAYAS avaient des contacts avec les Egyptiens. Démontré une première fois par AUGUSTE LE PLONGEON, cela a été corroboré par d’éminents épigraphistes comme le Pr BARRY FELL. De nos jours, l’éventualité d’une lien entre les Mayas et les Egyptiens se trouve renforcée par la découverte de GABRIEL HOWEARTH : les Mayas employaient un système de contrôle des insectes et des mauvaises herbes assez proche de ce qu’on appelle radionique (cf : Dr ALBERT ABRAMS / GEORGE et MARJORIE DE LA WARR). Ils associaient à ce système une science étonnante tenant à la fois de l’astronomie et de l’astrologie, permettant de capter les forces cosmiques qui étaient ensuite retransmises par de toutes petites pyramides longeant le réseau local des lignes de ley, exactement comme dans le cas des « tours d’énergie » de CALLAHAN. « Ils savaient, disait HOWEARTH, quel rôle joue une planète donnée sur un insecte déterminé. Ils connaissaient par exemple l’influence de Vénus sur les coccinelles, et de Mars sur les aphides. Des spécialistes étaient chargés d’établir le mouvement exacte des planètes par rapport aux étoiles. Les Mayas attachaient des parties mobiles à leurs nombreux et précis calendrier de pierre dont certains étaient gravés de glyphes représentant non seulement les planètes, mais aussi les mauvaises herbes et les insectes. Cela permettait à leurs prêtres de déterminer, puis de manipuler, les forces cosmiques, et ainsi d’enrayer la prolifération des insectes et des mauvaises herbes indésirables. Tout comme STEINER. » Leur expérience en ce domaine, dit HOWEARTH, s’est transmise à travers les siècles. Elle leur permet de maîtriser de façon étonnante l’écologie, comme, par exemple, de tirer profit d’une sauterelle qu’ils savent porteuse d’un virus destructeur d’une plante nuisible. Sur un calendrier de pierre peu particulier, les glyphes des planètes partent du centre; on y reconnaît le soleil, la lune et la ceinture d’astéroïdes. Les astronomes Mayas s’en servaient pour calculer et planifier au jour le jour les activités agricoles. Au fil des années, à mesure qu’HOWEARTH gagnait leur confiance les Mayas lui enseignèrent ce qu’ils savaient de l’influence des planètes, et bien d’autres secrets, jamais divulgués aux « archéologues blancs ». Ils l’emmenèrent dans leurs champs pour lui montrer ce qui équivaut à la radionique moderne. Au fur et à mesure que les planètes effectuent leur course, les Mayas utilisent de petites pyramides et des glyphes spéciaux de mauvaises herbes et d’insectes afin de retransmettre les forces comiques sur les lignes de ley terrestres, ce qui leur permet de contrôler les mauvaises herbes et les insectes. HOWEARTH affirme qu’au plus profond de la jungle, bien loin de la prétendue « civilisation », les Mayas pratiquent une agriculture très avancée. « Ils contrôlent de façon extraordinaire la pousse des mauvaises herbes sous les tropiques, où le problème est pourtant considérable. Et ce avec leurs seuls glyphes et pyramides. Ils ne gardent que les herbes qu’ils emploient dans leur agriculture intégrée. Pour se débarrasser des autres, ils ont une technique bien particulière : tout comme RUDOLF STEINER , ils prennent les cendres d’une plante et les placent dans une pyramide. Au maximum de l’influence des planètes concernées, les mauvaises herbes seront éliminées là où elles sont indésirables. Les Mayas m’ont dit qu’autrefois leurs ancêtres plaçaient les petites pyramides dans les grandes. Ils ont également des pyramides inversées, construites dans le sol, la plupart du temps en adobe, dans lesquelles ils stockent leurs semences qui peuvent se conserver indéfiniment. »
Tout comme DARYL KOLLMAN, les amis mayas de HOWEARTH veulent régénérer l’agriculture de leur hémisphère. L’ambition d’HOWEARTH est d’en faire venir certains aux Etas-Unis pour mettre en pratique sur ses terres non polluées la sagesse des anciens, qui a été conservée par les Indiens d’Amérique. Ces même Indiens furent massacrés ou réduits en esclavage. Si DIEGO de LANGA, l’arracheur de malezas, n’avait pas détruit les manuscrit Mayas, nous aurions pu sauver notre sol de cinq cent ans de mauvais traitement dus à notre ignorance.
Lien vers le PDF ‘en anglais’ « Secrets of the Soil » de Tompkins et Bird : http://fr.bookzz.org/book/691023/b5c035