Antenne aérienne N°3 BIS

260,00 

Antenne d’électroculture pour favoriser les échanges naturels d’électrons sol-air et air-sol. Idéale pour potager, vigne, verger, eau d’arrosage

Objectifs : Augmenter la croissance, la santé, la production et la résistance globale des végétaux.

Modèle réalisé d’après les recherches de Loïc Etcheberry.

GUIDE PRATIQUE D’INSTALLATION ICI : https://permafutur.com/2024/02/26/guide-pratique-electroculture/ 

 

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Description

Caractéristiques produit :

  • Tube, brins et dissipateur thermique en aluminium
  • Aluminium = électroconducteur, léger et ne rouille pas
  • Résistant
  • Brins nombreux pour optimiser l’effet de pointe
  • Tous les brins sont aiguisés un à un en pointe pour optimiser l’efficacité
  • 5 brins en cuivre plus longs pour vibrer au vent et augmenter la hauteur de l’antenne
  • Dissipateur thermique pour interagir avec les gouttes d’eau, le soleil, le gel…
  • Système de connexion simple pour brancher le fil conducteur
  • Barre en acier ferromagnétique pour recevoir les aimants
  • Aimants (4 aimants fournis) qui permettent de faire bouger les ions de l’air
  • Soudure aluminium pour la durabilité
  • Fixation support pour mât fournie
  • Fixation isolée électriquement pour ne pas perdre l’énergie
  • Connexion pour le câble électrique avec une vis inox.

 

GUIDE PRATIQUE D’INSTALLATION ICI : https://permafutur.com/2024/02/26/guide-pratique-electroculture/ 

 

Utilisations :

  • Potager
  • Verger
  • Vigne
  • Maraîchage
  • Arboriculture
  • Eau d’arrosage

 

Par le passé, les Chinois pratiquaient ce que l‘on peut qualifier d’acupuncture de la terre. Ils plantaient des tiges métalliques dans le sol ce qui avait pour but d’harmoniser le lieu avec les énergies environnantes. En électroculture, c’est cette même philosophie qui peut être appliquée pour soigner la Terre, favoriser le bien être global d’un jardin, de cultures nourricières, grâce à une harmonisation énergétique.

Depuis l’Abbé Bertholon, Jean Nollet ou encore Justin Etienne Christofleau, de nombreux chercheurs dans l’histoire ont œuvré à créer des antennes aériennes toujours plus perfectionnées et performantes. La littérature historique ne manque pas d’exemples et d’expérimentations sur le sujet ! Une antenne aérienne d’électroculture pourra donc permettre de stimuler les échanges bioénergétiques bénéfiques pour le vivant; ceci dans le but de favoriser la vigueur, la croissance, la résistance à la sécheresse et aux maladies des végétaux et des cultures

 

LIVRE de Loïc Etcheberry sur le sujet ici : https://permafutur.com/produit/livre-antennes-aeriennes-et-magnetiques-electroculture/

 

 

ARTICLE sur les antennes aériennes d’électroculture : https://permafutur.com/2023/02/16/les-antennes-aeriennes-delectroculture-type-paratonnerre/

 

POURQUOI le choix de l’aluminium ? 

  • L’aluminium est priorisé dans l’aéronautique pour ses capacités électrostatiques et sa légèreté; il a plus d’électrons de valence (libres) par rapport au cuivre. Il a une bonne capacité à capter et transmettre les électrons. Imaginez les avions en plein vol, l’énorme quantité d’électricité statique qu’ils captent et doivent évacuer rapidement…
  • L’antenne fonctionne (entre autres) avec l’électricité statique, les fluctuations de météos et les différences de potentiels électriques entre le sol et l’air… Elle fait circuler dans son métal une intensité de courant qui fluctue de l’ordre du milliamperage et en dessous. Le facteur usuel d’électroconductivité des métaux donne le cuivre comme plus conducteur que l’aluminium; mais, sur du milliampérage, c’est une différence quasi-rédhibitoire entre le cuivre et l’aluminium dans le transfert du courant car il n’y a pas beaucoup d’intensité dans le flux d’électrons. D’autant que, parmi les métaux, l’aluminium est un très bon conducteur et le 4ème meilleur après l’argent, le cuivre et l’or. Le cuivre et l’aluminium, pour l’électroconductivité de l’antenne, sont donc tous les deux un bon choix.
  • L’antenne est présente pour favoriser les échanges d’électrons sol-air et air-sol et tous ses brins sont eux-mêmes connectés à un fil de cuivre conducteur qui va en direction du sol. Le transfert d’électrons libres se fait via ce fil descendant (qui connecte le haut et le bas en longeant le mât) = tous les électrons circulent par cet unique fil ! Justin Christofleau (20ème siècle) ou encore le Frère Paulin (19ème siècle) à l’époque utilisaient comme câble (connectant la partie haute à la terre) du fil de fer galvanisé… N’est-il pas moins bon conducteur que le cuivre ? Si. Et ils avaient de très bons résultats à l’époque comme cela. L’aluminium est devenu accessible en terme financier que vers la 2ème moitié du 20ème siècle où les processus de fabrication sont devenus plus simples et moins onéreux. Est-ce pour cela qu’ils ne l’ont pas utilisé ? … Donc, en définitive, le paramètre d’électroconductivité du métal est à relativiser quand on parle de milliampérage, c’est important bien sûr, mais pas le seul paramètre à prendre en compte.
  • L’aluminium est un très bon composant, résistant et qui ne rouille pas. La rouille limite voire empêche le passage du courant et elle peut intervenir rapidement sur le fer ou les aciers qui ont un mauvais zingage de surface. L’aluminium reste brillant (alumine) et offre une durée de vie longue de l’antenne.
  • L’aluminium est très léger et permet d’ériger facilement l’antenne en hauteur avec des mâts de drapeau par exemple. D’ailleurs, de nos jours, la majorité des paratonnerres sont en cuivre et/ou aluminium.
  • Voici du plus léger au plus lourd et avec la masse volumique = 1/Aluminium  2/Zinc  3/Cuivre 4/Laiton  5/Acier zingué  6/Fer.

Informations complémentaires

Poids 1 kg